Toyota RAV4 Prime : des premiers tests prometteurs
2020-07-07 - mise à jour 2023-12-07
Le Toyota RAV4 Prime est assurément un des véhicules les plus attendus de l’année. Si son arrivée se fait attendre, on se rapproche tranquillement du but, même qu’au sud de notre frontière, certains ont déjà eu la chance d’en faire l’essai. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les premiers résultats sont prometteurs.
D’abord, il faut savoir que l’autonomie électrique annoncée par le modèle est de 62 kilomètres. Ça, c’est sur papier. On a vu dans le passé des véhicules offrir plus dans la réalité, mais aussi moins une fois à l’usage. Or, avec le Ford Escape qui vient de voir son autonomie annoncée passer de 48 à 60 kilomètres, le RAV4 Prime ne peut pas rater son « entrée ».
Des premiers tests prometteurs pour le Toyota RAV4 Prime
Si l’on se fie aux premières analyses effectuées, ça augure bien. En effet, dans les pires conditions, c’est-à-dire sur une conduite effectuée seulement sur l’autoroute, le véhicule a rempli ses promesses, soit une autonomie autour de 62 kilomètres.
Lorsque les parcours ont varié, avec un mélange de parcours réalisés en ville, sur chemin de campagne et sur autoroute, les essayeurs de différents médias ont généralement obtenu de meilleurs résultats que ceux prévus. Dans certains cas, l’autonomie a atteint 80 kilomètres.
On nage ici dans les eaux de ce que la Chevrolet Bolt proposait et de ce que l’actuelle Honda Clarity suggère. La différence, c’est que le véhicule qui va l’offrir est LE VUS le plus populaire de l’industrie à l’heure actuelle.
Le seul problème de Toyota sera sa capacité de répondre à la demande ; cette dernière n’est pas seulement forte, elle est stratosphérique.
RAV4 Prime : puissance et performance
Ce qui est encore plus intéressant à propos de ce RAV4 Prime, c’est qu’il est puissant et performant. Grâce à l’apport de ses unités électriques, il avance une cavalerie de 300 chevaux et est capable d’atteindre les 100 km/h en moins de 6 secondes.
Le tout en proposant la consommation d’essence d’une sous-compacte. Impressionnant, surtout lorsqu’on considère que le moteur à combustion qui repose sous le capot demeure un 4-cylindres de 2,5 litres.
Ne reste qu’à voir de quelle façon tout cela va se traduire une fois entre nos mains, spécialement avec nos hivers. Là, il faudra s’attendre à une baisse de l’autonomie, mais si le rendement est à la base supérieure à ce qui est annoncé, les pertes ne seront peut-être pas trop majeures.